Nous croyons que chaque œuvre d’art mérite son écrin. Que vous soyez un collectionneur d’art, un amateur de photographie ou que vous ayez simplement un diplôme à présenter, notre service d’encadrement sur mesure est là pour vous.

Variété et Personnalisation
Nous offrons une gamme variée de cadres pour répondre à tous les goûts et styles, allant de la Renaissance au minimalisme du XXIe siècle. Nous fabriquons également des cadres à la feuille d’or fin ou d’argent avec finition à coins bouchés.
Passe-partout
Un passe-partout est un encadrement en carton, coupé en biseau, placé entre une œuvre d’art ou une reproduction et le cadre. La fonction première du passe-partout est de créer un espace entre l’œuvre et le verre de façon à protéger le sujet d’un contact direct (indispensable pour l’encadrement de fusains ou de pastels). Il assure également une fonction décorative.
Les différents types : Fin ou épais, simple, double ou triple, avec biseau anglais, filet en creux, filets encre ou papier, lavis, etc. Nos passe-partout sont en carton sans acide, de qualité musée.

Les différents verres
Pour protéger vos œuvres vous avez le choix entre les principaux produits suivants:
Epais généralement de 2mm, est un verre dit « Flotté » d’une couleur très légèrement verdâtre due à la teneur en fer de la pâte/substrat. De plus il brille, donc reflète et ne filtre que 40% des UV. Il convient pour une utilisation peu exigeante pour un coût réduit.
Filtre 99% des rayons Ultra-Violets et n’est traité que pour cette unique fonction. Ce verre de conservation ressemble à du verre ordinaire, il reflète beaucoup, sa fonction de filtre signifie que les dommages causés par les UV sont presque impossibles.
Nous recommandons ce produit pour les travaux d’encadrement qui nécessitent une protection « absolue » contre les UV pour un coût réduit.
LE VERRE SANS REFLET Artglass AR 70 est un verre blanc (substrat) sur lequel est appliqué par pulvérisation cathodique magnétron * une couche mince d’oxyde métallique qui élimine presque tous les reflets, il reste moins de 1% de réflexion de la lumière. Ce verre est très apprécié pour sa grande transmission de la lumière, environ 98%, ce qui donne un rendu des couleurs authentiques. De plus sa protection relativement élevée contre les UV, 70%, ainsi que sa faible sensibilité aux rayures en font le verre actuellement le plus utilisé en encadrement d’art.
Choisissez Artglass AR 70 pour :
• L’encadrement d’œuvres d’art et de photographies reproductibles
• L’encadrement d’œuvres d’art qui ne nécessitent pas de protection UV absolue
• L’encadrement d’œuvres d’art qui ne sont pas directement sous la lumière du jour.
*La pulvérisation cathodique magnétron à courant continu est l’un des nombreux types de pulvérisation cathodique, qui est une méthode de dépôt physique en phase vapeur de films minces d’un matériau sur un autre matériau. Les méthodes de dépôt par pulvérisation les plus couramment utilisées en 2025 sont la pulvérisation par faisceau d’ions, la pulvérisation par diode et la pulvérisation par magnétron à courant continu. La pulvérisation cathodique a une grande variété d’utilisations scientifiques et industrielles, et est l’un des processus de production à la croissance la plus rapide utilisé dans la fabrication moderne.
Très simplement, la pulvérisation se produit dans une chambre à vide, où une substance est bombardée de molécules de gaz ionisé qui déplacent les atomes de la substance. Ces atomes s’envolent et frappent un matériau cible, appelé substrat, et se lient à lui à un niveau atomique, créant un film très mince. Ce dépôt par pulvérisation se fait à un niveau atomique, de sorte que le film et le substrat ont une liaison pratiquement incassable et le processus produit un film uniforme, extrêmement fin et rentable.
Les fenêtres isolées modernes à haute efficacité utilisent du verre qui a été enduit par pulvérisation cathodique, et de nombreux articles de quincaillerie, de jouets et de décoration sont fabriqués à l’aide de ce processus. Les autres industries qui utilisent la pulvérisation cathodique comprennent les industries de l’aérospatiale, de la défense et de l’automobile, les industries médicales, énergétiques, de l’éclairage et du verre, et bien d’autres. Malgré son utilisation déjà répandue, l’industrie continue de trouver de nouvelles utilisations pour la pulvérisation cathodique magnétron à courant continu. Source SPIEGATO.COM
LE VERRE MUSEE est un verre qui cumule les qualités des deux types de verres décrits plus haut.
Ce verre offre une protection maximale des œuvres précieuses, il filtre 99% des UV et est traité antireflet sur une face avec moins de 1% de réflexion. Il est exceptionnellement clair avec 97% de transmission de la lumière. Il est un peu plus épais que les autres verres, 2.5mm.
Le verre acrylique transparent extrudé de qualité XT (pour « Extra tough » soit très résistant) a du reflet, 9.5% de réflexion lumineuse et offre une protection aux UV comprise entre 90% et 95%. Il est sensible aux rayures et charge statique. Le Plexiglass XT est fabriqué à partir de poly méthacrylate de méthyle (PMMA), un matériau thermoplastique transparent et dur.
Choisissez le plexi pour :
• Des encadrements de grandes tailles ou devant êtres transportés, car il est pratiquement incassable et au passage il offre une bonne protection contre les UV.
Optium : verre acrylique antireflet, est un verre de sécurité antireflet avec protection UV à 99%, antistatique et résistant totalement aux rayures.
Optium Museum Acrylic® associe les qualités optiques du verre musée aux propriétés protectrices des produits acryliques. En raison de cette combinaison inégalée, les meilleurs musées du monde font confiance à Optium Museum Acrylic®. C’est le meilleur vitrage pour tout projet, en particulier pour des œuvres ou objets irremplaçable à encadrer, que la valeur soit financière ou sentimentale.
Choissisez Optium Museum Acrylic® pour :
• Des encadrements ou vitrines pour les héritages culturels, les collections d’art et travaux de grande envergure. Les propriétés antistatiques réduisent les frais de nettoyage et permettent aux matériaux sensibles à l’électricité statique comme les textiles, les fusains, les pastels, les surfaces fragiles et les papiers légers d’être protégés sans le risque que des particules de matériaux ne se collent au verre.
Le choix de ce verre est également judicieux lorsque le tableau est fréquemment transporté ou exposé dans des zones très fréquentées comme les musées où la sécurité joue un rôle important.
Carton de fermeture au dos
Tout encadrement avec vitre nécessite un carton de fermeture au dos. Aujourd’hui seul un carton de qualité pour la conservation de l’œuvre, du document, entre en ligne de compte. Pour atteindre cet objectif de conservation du document encadré il faut avant tout un carton de pH neutre, voire très légèrement alcalin, ce qui est considéré comme un paramètre important dans le domaine de la conservation. Nous n’utilisons que des cartons de dos de qualité conservation du cartonnier Klug en Allemagne.
Les causes principales de la détérioration précoce des collections à base de papier et de carton sont connues. Un facteur déterminant est la rupture hydrolytique de la substance de base des matériaux, à savoir, la cellulose, par l’influence catalytique des acides ajoutés lors du processus de fabrication. Les molécules de cellulose sont dépolymérisées ce qui, à un stade avancé, mène à une perte de solidité des fibres composées de cellulose. Les papiers fabriqués après 1850 sont concernés en masse par cette réaction de décomposition suite à l’introduction de l’encollage résineux acide pour lequel était utilisé du sulfate d’aluminium (Al2(SO4)3.
Selon G. Dessauer (1980), on parle dans ce cas de causes de dégradation endogènes. Outre la division cellulaire de la cellulose par les acides catalysant, le matériau est soumis dans son intégralité à des processus d’oxydation qui peuvent être considérablement accélérés par des ions métalliques de transition, comme par exemple du Cu²+, Fe²+, Fe³+, apportés en concentrations minimes par les procédés de production et agissant comme catalyseur. Dans ce contexte, les circuits d’eau restreints ou fermés dans les usines de production de cellulose et de papier par lesquels des composants organiques et anorganiques sont enrichis dans l’eau et apportés en force dans la cellulose ou le papier, s’avèrent critiques. Des polluants réactifs peuvent également apparaître sous forme de polluants atmosphériques. Ils sont absorbés par le papier et le carton et provoquent des processus de destruction par hydrolyse et/ou oxydation, selon la composition des substances introduites. Ces processus de décomposition, nommés exogènes, induits par des facteurs externes sont déclenchés majoritairement par du dioxyde de souffre (SO2) et des oxydes d’azote (NOx), mais également par des poussières.
Sous la direction du Professeur Salthammer, le carton à cannelure fine de KLUG a été lui aussi analysé. Il a été constaté que les effets des effluents intrinsèques des cartons cannelés, après quelques semaines de stockage, sont si faibles, qu’ils deviennent non mesurables.
KLUG-CONSERVATION démontre ainsi que ses cartons cannelés utilisés pour l’archivage à long terme présentent, outre les caractéristiques de tenue au vieillissement et de contre collage résistant à l’humidité, d’excellents résultats au niveau des effets de leurs effluents intrinsèques.
Les colorants et azurants optiques
Les colorants sont des composés organiques solubles absorbant les intervalles de longueurs d‘onde de la lumière visible (400-780 nm). Il s‘agit d‘une propriété spécifique à la composition que l‘on appelle l‘absorption sélective. La surface d‘un papier coloré ne permet de réfléchir que les lon¬gueurs d‘onde non absorbées de la lumière incidente et qui sont perçues par l‘observateur comme la couleur complémentaire correspondante.
Dans l‘industrie du papier, on utilise des types de colorants spéciaux permettant également de nuancer et d‘éclaircir. Nuancer désigne l’utilisation d’une « contre-coloration » par exemple un „bleuis¬sant“ pour recouvrir un ton généralement jaunâtre. Les azurants optiques en revanche, transforment le rayonnement invisible des UV proches en rayonne¬ment fluorescent visible de la plage spectrale du violet-bleu (400 à 480 nm). Ils améliorent ainsi la blancheur des papiers.
A partir de l’incidence de la lumière, les colorants réfléchissent la longueur d’onde appartenant à une couleur déterminée. La couleur blanche résulte de la réflexion de toutes les ondes visibles de la lumière. On les ajoute aux fibres de papier sous forme de solution ou de suspension de pigments pour le blanchiment et pour la fabrication de papiers naturels colorés. Au fil du temps, les différents colorants perdent de façon plus ou moins forte cette capacité de réflexion recherchée. Selon le type de colorant ainsi que l’intensité et la durée de l’exposition à la lumière, il résulte une modification de la couleur ou une perte de densité de la couleur d’origine. La stabilité à la lumière d’un colorant, exprimée à l’aide d’un indice de 1 (mauvais) à 8 (très bon) sur l’échelle de laine bleue, désigne l’ampleur de l’altération de la couleur.
Etant donné que tout colorant se modifie sous l’effet de l’énergie, il existe certes une bonne et une mauvaise stabilité à la lumière, mais aucune stabilité absolue.
Les azurants optiques sont des substances (colorants), qui absorbent les rayons UV invisibles et les restituent sous forme de lumière visible, ce qui améliore la blancheur optique, donc l’impression de luminosité du papier. Cette caractéristique aussi s’amoindrit avec le temps et sous l’influence d’énergie. Les azurants optiques sont altérables et par conséquent non stables à la lumière. Pour de nombreuses raisons, presque tous les papiers et les cartons sont colorés. Même le blanc est une couleur, qui peut être nuancé (coloré) du bleuâtre au rougeâtre. C’est pour cette raison que tous les papiers blanc pur et colorés ont tendance à plus ou moins jaunir, c’est à dire à glisser leur couleur vers le jaune. Il n’existe donc pas de papier de couleur immuable ou stable à la lumière, mais des types de papiers qui jaunissent plus ou moins La désignation « stable à la lumière » n’a de sens qu’en rapport avec l’indice de stabilité à la lumière. La stabilité à la lumière d’un passe-partout de qualité supérieure se situe entre 3 et 6 sur l’échelle de laine bleue. L’origine du jaunissement est alors avant tout une modification de l’impact du colorant. Il n’y a pas d’altération de la fibre.
Cependant, si le papier ou le carton contient des substances nocives intrinsèques comme des fibres lignifiées, des acides (de l’alun, par exemple) ou n’a pas de protection (réserve alcaline) contre les acides externes, alors, la fibre de papier est attaquée. Cela mène également à un glissement de la couleur vers le jaune, ce que l’on appelle le jaunissement. Cette modification de la couleur, due à des facteurs intrinsèques, constitue une altération importante de la tenue au vieillissement du papier et du carton, car la solidité du matériau est endommagée de façon croissante.
L‘absorption sélective des molécules de colorant tout comme le comportement fluorescent des azurants optiques sont déterminés par la structure moléculaire de ceux-ci. Les molécules de colorants présentent des systèmes à liaisons doubles conju¬guées qui toutefois sont peu stables au rayonnement lumineux et donc en général non « résistantes à la lumière ». Le rayonnement de la lumière provoque des modifications irréversibles des systèmes de liaison et des structures moléculaires. Et cela tout particulièrement lorsque le rayonnement est du type violet-bleu, c‘est-à-dire lorsqu‘il est très intense dans la plage d‘énergie de 400 à 480 nm et/ou en présence d‘une part élevée en UV. La stabilité à la lumière des colorants ne peut être classifiée que d‘une manière très relative selon l‘échelle de laine bleue de 1 à 8, avec 1 pour une très faible stabilité à 8 pour une excellente stabilité. Cependant, aucun colorant n‘est absolument stable à la lumière, même s‘il atteint la valeur 8 de l‘échelle de la laine bleue au cours des tests normalisés (EN ISO 105 :2014). Sous l‘effet de la lumière les azurants optiques perdent eux aussi relativement rapidement leur « effet blanchissant ». La conséquence est une modification de la couleur des papiers initialement blanchis. Les papiers et cartons blanc nature, sans azurants optiques sont de ce fait plus stables à la lumière que ceux contenant des azurants optiques. La version actualisée de la norme ISO 16245 :2012recommande dans la mesure du possible de ne pas ajouter de colorants ni de pigments aux papiers et cartons. Si toutefois des papiers ou cartons colorés doivent être utilisés dans le cadre de la conservation, la norme n‘exige pas une classification de la stabilité à la lumière des colorants mais le justificatif concernant leur fixation suffisante à la fibre par un test de solidité au dégorgement.
La tendance de la cellulose ainsi que des papiers et cartons non résistants au vieillissement à prendre une coloration jaune sous l‘effet de la lumière, de la chaleur et de l‘oxygène est appelée jaunisse¬ment. Les raisons proviennent de la composition de la matière, c‘est-à-dire de la lignine contenue dans la fibre ou des colorants ajoutés à la matière peu stables à la lumière ou des azurants optiques. Avec le temps, les azurants optiques deviennent inefficaces, sans pour autant que la durée de vie des papiers s‘en trouve impactée. Le jaunissement dû aux azurants optiques provient de la diminu¬tion de leur capacité à la fluorescence, pour les papiers colorés, il provient des modifications structurelles des molécules de colorants. La durée d‘exposition au rayonnement aidant, ces modifications moléculaires vont s‘amplifier, de sor¬te que l‘observateur percevra de plus en plus di-stinctement la couleur complémentaire jaune. Une humidité relative plus élevée accélère davantage les modifications moléculaires des colorants et donc l‘apparition du jaunissement. Les cartons passe-partout et de montage ainsi que les pochettes d‘archivages avec colorants ne doivent en tout cas pas contenir de lignine ni de traces d‘autres composants facilement oxydables si leur indice Kappa doit rester inférieur à 5 con¬formément à la norme. Si, de surcroît, les produits répondent aux exigences de la norme en vigueur relative aux papiers résistants au vieillissement EN ISO 9706:2010, ceux-ci doivent être déclarés comme étant résistants au vieillissement même siles colorants contenus ne sont stables à la lumière que dans certaines limites. Leur stabilité à la lumière devra être classée en général entre 4 et 7 de l‘échelle de la laine bleue.
D‘après l‘état actuel de la recherche, les modi¬fications des colorants du papier ou du carton imputables aux modifications moléculaires des colorants n‘ont pas d‘impact sur la résistance au vieillissement du papier et du carton. Ceci vaut aussi pour les papiers et cartons à haute blancheur contenant des azurants optiques. C‘est la raison pour laquelle ces derniers ne sont pas expressément exclus en tant qu‘additifs dans les papiers résistants au vieillissement dans les normes EN ISO 9706:2010 et ISO 16245:2012.
E. Gruber (2011). Chimie du papier et des polymères – polycopiés de cours concernant le cycle „Technique du papier“ à l‘université duale de Karlsruhe – 18 : Les colorants et azurants optiques.
http://www.gruberscript.net/18Farbstoffe_Aufheller.pdf
EN ISO 105:2014. Textiles — Essais de solidité des coloris — Partie B01 : Solidité des coloris à la lumière : Lumière du jour.
EN ISO 9706:2010. Information et documentation – Papier pour documents – Prescriptions pour la permanence.
ISO 16245:2012-05. Information et documentation – boîtes, pochettes d’archivage et autres enveloppes en matériau à base de cellulose pour l’archivage de manuscrits et d‘imprimés en papier et parchemin Berlin : Beuth
SOURCE : KLUG CONSERVATION

Les châssis pour toile
Pour tendre les peintures faites sur toile, nous fournissons des châssis avec clés. En fonction du format, il sera ajouté une ou plusieurs traverses ou croix. Un châssis peut aussi servir pour un Gobelin, un patchwork, une cotonnade, une indienne etc.
Pour éviter que la toile transpirant la peinture fraîche ne se colle au châssis, celui-ci est fait de listes de bois de section « rectangulaire » dont l’une des arrêtes a un « boudin » en saillie pour distancer la toile du plat de la baguette. Le châssis est habituellement d’une épaisseur de 2 cm, ou de 4 cm selon l’effet esthétique recherché. La largeur du profil constituant les montants peut aussi varier de 5cm à 6.5cm selon le poids et la grandeur de la toile.
Collage
Nous pratiquons le collage à chaud, dans une presse sous vide, sur divers supports comme le carton mousse pour les affiches, le carton de conservation structuré de la marque Klug pour les toiles, les documents papier, et notre spécialité, la mise en place des foulards Hermes, pour pouvoir les encadrer sous verre, avec un résultat exceptionnel.
Coller une image, un document, n’est pas un acte anodin, il ne sera pratiqué que sur une pièce n’entrant pas dans la catégorie des œuvres uniques, de collections ou encore non remplaçables, comme par exemple un document autographe. Coller ne fait pas partie du vocabulaire du conservateur de musée ou de l’archiviste. Ceci étant dit, le collage à chaud sous vide donne un résultat impressionnant pour un papier froissé, gondolé ou plié. Pratiquement tous les défauts disparaîtront, subsisteront uniquement les marques de plis si prononcés que la fibre du papier en est cassée.
